• Signer un contrat avec l’État sur l’évolution du métier, incluant la rémunération.
• Renégocier l’avenant sur la rémunération pour passer à un honoraire à l’ordonnance.
• Revoir la TVA des médicaments conseils.
• Exiger la transparence sur les ruptures de stock.
• Demander une marge sur la dispensation des médicaments de plus de 5 000 euros.
• Renforcer les capacités d’achat des pharmaciens avec l’aide des groupements.
• Sortir les pharmaciens d’officine de la catégorie des petits commerçants à l’INSEE et les intégrer aux professionnels de santé libéraux.
• Relancer et valoriser les nouvelles missions : pharmaciens correspondants, référents en EHPAD, entretiens AVK et asthme et dans le futur, entretiens TSO, diabète, etc..
• Rémunérer les interventions pharmaceutiques.
• Simplifier le travail administratif (tiers payant, renouvellement d’ordonnances).
• Défendre les officines en milieu rural et périurbain menacées par la désertification médicale et en faire des postes de santé avancés.
• Défendre la dispensation des médicaments vétérinaires à l’officine.
A la Une
Stéphanie Rist, une ministre de la Santé qui vous veut du bien
Congrès national des pharmaciens
Millefeuille administratif : les pharmaciens exaspérés remettent un livre blanc à la Sécu
Congrès national des pharmaciens
Objectif 95 % à 97 % de substitution sur les biosimilaires
Congrès national des pharmaciens
L’assurance-maladie réaffirme le principe « carte Vitale contre tiers payant »