Depuis fin avril, tous les pharmaciens chypriotes et leurs salariés devaient respecter « le repos de midi » et fermer leur pharmacie à la mi-journée. Une décision de l’Ordre des pharmaciens, publiée au « Journal officiel » du 20 avril dernier, encadrait ainsi les horaires d’ouverture des pharmacies.
Panagiotis Loizou, un pharmacien titulaire de plusieurs officines à Paralimni, refusait de fermer au même moment que ses confrères et a saisi la Cour suprême de la République, qui lui a donné raison.
Si l’Ordre des pharmaciens a pour compétence de se prononcer sur les horaires d’ouverture des officines le week-end et les jours fériés, il n’y a aucun motif pour qu’elle exige des pharmaciens qu’ils ouvrent et ferment en même temps leur officine lors des jours ouvrés. Panagiotis Loizou et ses salariés ne seront donc plus obligés de faire la sieste.
Dans le Sud-Ouest
Vol à main armée dans une pharmacie : le braqueur confondu par son ADN
Médicament à dispensation particulière
Clozapine : vers plus de souplesse dans le suivi des analyses de sang
Économie
Évolupharm défend ses remises génériques face à la réforme annoncée
Festivités
Le groupe Rocade sous le soleil basque