C'est « une question de survie », lance la chambre syndicale des groupements et enseignes de pharmacie Federgy. Le pharmacien doit pouvoir « faire savoir ce qu'il fait (missions d'accompagnement et de prévention, services) et ce qui le différencie de ses concurrents (parapharmacies, grande distribution…) ». C'est pourquoi Federgy réclame « flyers, cadeaux, cartes de fidélité, animation et modes de paiement », autant d'outils de communication qui doivent « faire partie du quotidien du pharmacien », « à l'intérieur comme à l'extérieur de l'officine ». Car pour répondre aux besoins de santé des Français, le pharmacien doit dispenser des produits et services hors monopole, ce qui le met en concurrence avec d'autres circuits de distribution qui peuvent communiquer comme ils l'entendent. Pour Federgy, « communiquer c'est exister », « le savoir-faire sans faire savoir n'a aucun sens » et « à trop vouloir renier la réalité ou se protéger, la profession risque l'uberisation, et donc l'affaiblissement du réseau et de son maillage ». Cette déclaration intervient alors que les réflexions de l'Ordre national des pharmaciens sur la communication seront dévoilées à la fin du mois de juin et que la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) vient de rendre publique sa contribution.
Communication : les groupements veulent de nouveaux outils
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Publié le 14/06/2016
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Crédit photo : Phanie
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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