L'association de défense des victimes de la Dépakine (APESAC) a saisi, le 12 mai, le tribunal de grande instance de Paris d'une action de groupe à l'encontre du Laboratoire Sanofi. Promise fin septembre, dès la parution du décret autorisant ces nouvelles actions en justice, l'action de groupe vise à faire reconnaître la responsabilité civile du groupe pharmaceutique dans les malformations ou retards de développement survenus chez des enfants exposés in utero au valproate (Dépakine, Dépakote, Dépamide, Micropakine et génériques). Dans son assignation, l'APESAC demande au juge d'ordonner la consignation par Sanofi de la somme de 400 millions d'euros pour faire face à d'éventuelles demandes d'indemnisation. Cette action de groupe s'ajoute à une enquête pénale, des procédures civiles individuelles et aux futures demandes d'indemnisation devant l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux (ONIAM).
Dépakine
La première action de groupe est ouverte
Par
Publié le 22/05/2017
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3353
À la Une
Budget de la Sécu : revoilà le doublement des franchises sur les boîtes de médicaments
Soins dermatologiques
Lésions cutanées : l’URPS PACA expérimente la télé-expertise à l’officine
Vaccination à l’officine
Campagne vaccinale grippe/Covid-19 : tout ce qu’il ne faut pas oublier
Économie du médicament
Annulation des baisses de TFR sur plusieurs groupes génériques : mesure définitive ou simple sursis ?