« Avec les nouvelles missions, je pense que le pharmacien aura accès à des leviers de rentabilité et de croissance. Le vrai défi pour le titulaire sera de bien s’organiser au sein de son officine et avec ses ressources, car le vrai problème aujourd’hui, c’est le manque de ressources. Prioriser les nouvelles missions sera la clé pour réussir la transition post-Covid. Un autre enjeu qu’il ne faut pas ignorer, c’est l’écoresponsabilité, qui est un axe de différenciation important pour le pharmacien et un bon moyen d’attirer la nouvelle génération, qui est très sensibilisée à la question. Nous avons pu le voir par l’intervention de l’ANEPF lors de cette Journée de l’économie, qui a alerté sur les places vacantes dans les universités. Les jeunes pharmaciens ont une vision de la pharmacie de demain, et leur donner la parole est une excellente initiative. Il y a un vrai débat à tenir autour de la projection du rôle du pharmacien, et l’interactivité permise par cet événement est une excellente opportunité pour mener ce dialogue. »
*Directeur général operationnel de Giropharm
Événement indésirable qui ne devrait jamais arriver
Colchicine et clarithromycine : une interaction médicamenteuse qui aurait pu être fatale
Jusqu’à 20 000 euros par an
Aide aux pharmacies en territoires fragiles, mode d’emploi
Dans le Sud-Ouest
Vol à main armée dans une pharmacie : le braqueur confondu par son ADN
Médicament à dispensation particulière
Clozapine : vers plus de souplesse dans le suivi des analyses de sang