La sortie – partielle — de l’état d’urgence sanitaire signifie pour l’officine la fin de plusieurs mesures d’exception en vigueur depuis l’année dernière. Parmi elle, la coopération avec les établissements hospitaliers pour que les médicaments généralement dispensés par les pharmacies à usage intérieur (PUI) soient distribués aux pharmacies d’officine avec la coopération des grossistes-répartiteurs.
La levée de cette mesure est problématique pour une file active de patients nombreux qui en bénéficiaient, déplore Philippe Besset, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF). Le syndicat a saisi le ministère en lui demandant une prorogation de cette mesure dérogatoire. Il souhaiterait même la voir prorogée en droit commun et, au regard de son importance, dédiera prochainement un colloque à cette thématique.
Événement indésirable qui ne devrait jamais arriver
Colchicine et clarithromycine : une interaction médicamenteuse qui aurait pu être fatale
Jusqu’à 20 000 euros par an
Aide aux pharmacies en territoires fragiles, mode d’emploi
Dans le Sud-Ouest
Vol à main armée dans une pharmacie : le braqueur confondu par son ADN
Médicament à dispensation particulière
Clozapine : vers plus de souplesse dans le suivi des analyses de sang