En juin 2012, l’Assurance-maladie a révélé les résultats d’une étude menée sur 12 000 ordonnances, dans 100 caisses primaires. Selon cette étude, le taux de mention « NS » (non substituable) à la ligne de produit s’élèverait à 4,2 %, « témoignant d’une utilisation peu fréquente du " NS " parmi les médecins ». En détail, l’étude met en évidence des différences entre les molécules. Ainsi, le clopidogrel, la lévothyroxine et le bromazépam présentent un taux de « NS » supérieur à 8 % tandis que ce dernier est inférieur à 2 % pour l’ibuprofène, l’oxomémazine, la bêtaméthasone et la pravastatine. Des disparités régionales sont également observées ; la région Pays-de-Loire affiche le taux de « NS » le plus faible, alors que la Basse-Normandie a le taux le plus élevé (8,3 %).
La mention « NS » ne fait plus recette
Publié le 25/02/2013
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Source : étude sur l’utilisation de la mention NS par les médecins – Assurance maladie – 6 juin 2012
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