Le LEEM déplore que « les évaluations des autorités françaises continuent de se détériorer » et estime qu’il existe un décalage « préoccupant » avec les évaluations internationales sur le progrès thérapeutique. Ainsi, les industriels notent que la commission de transparence de la Haute autorité de santé (HAS) n’a accordé en 2011 « que 23 ASMR (amélioration du service médical rendu), dont une seule ASMR I (majeure), cinq ASMR III (modestes) et 17 ASMR IV (mineures) ». En outre, le LEEM remarque que la France « est de moins en moins choisie dans les évaluations permettant l’accès au marché », que ce soit par l’Agence européenne du médicament (EMA) comme rapporteur ou co-rapporteur dans les procédures centralisées, ou que ce soit par les industriels eux-mêmes, comme pays de référence dans les procédures décentralisées.
La France, parent pauvre de l’évaluation
Publié le 01/03/2012
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2902
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