Après l'Italie, l'Allemagne, la Suède, le Danemark, la Roumanie, la Bulgarie, la Croatie… la France se porte candidate pour accueillir l'Agence européenne du médicament (EMA), dont le bail londonien va expirer avec le Brexit britannique. La députée européenne Françoise Grossetête a soumis l'idée de la relocaliser à Lyon à la fois au maire de la ville Gérard Collomb, à la ministre de la Santé Marisol Touraine et au commissaire européen à la Santé Vytenis Andriukaitis. L'eurodéputée défend en effet ce « pôle majeur de recherche et d'innovation dans le domaine médical », siège de nombreux laboratoires pharmaceutiques, qui « jouit d'une excellente situation géographique et est parfaitement connectée au reste de l'Europe ». Cependant, comme le rappelle « Le Quotidien du Pharmacien » dans son édition du 30 juin, « l'attribution des sièges et des agences de l'Union obéit à des règles d'équilibre et des tractations entre les États », le but étant de répartir les différentes instances entre les pays membres et non de les centraliser. Or la France accueille déjà, à Strasbourg, la Direction européenne de la qualité du médicament du Conseil de l'Europe et le Parlement européen.
EMA
Pourquoi pas Lyon ?
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Publié le 07/07/2016
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3280
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