Pour clôturer le recrutement d'une étude de séroprévalence des IgG anti-Covid chez des professionnels de santé, il manque à l'INSERM quelques pharmaciens volontaires.
L'étude COVID-SéroPRIM a pour objectif d'estimer en France métropolitaine la séroprévalence des IgG - acquises naturellement ou par la vaccination - contre le SARS-CoV-2 chez des professionnels de santé en soins primaires, dont des pharmaciens (les autres populations concernées étant les médecins généralistes, les pédiatres, et les chirurgiens-dentistes), ainsi que chez leurs contacts au sein des foyers.
Les volontaires reçoivent un autoprélèvement capillaire au bout du doigt à retourner dans une enveloppe prépayée. Suite aux analyses sérologiques, ils sauront s'ils ont acquis des IgG contre le SARS-CoV-2, dont celles acquises naturellement, et si ces IgG sont neutralisantes vis-à-vis du SARS-CoV-2.
Le recrutement des participants doit prendre fin ces prochains jours, de façon à avoir des données reflétant la situation épidémiologique actuelle pour l'ensemble des participants. Malheureusement, expliquent les organisateurs, il manque des pharmaciens pour disposer d'un effectif suffisamment grand et tirer des conclusions intéressantes des futures analyses statistiques. L'INSERM a fixé à 485 le nombre de sujets nécessaires à l'étude, or seulement 299 pharmaciens sont inclus à ce jour.
Si vous souhaitez répondre à cet appel, merci de vous adresser à Marie Pouquet, Cheffe de projet Étude COVID-SéroPRIM (Tél. 07 61 28 94 34 ; e-mail : marie.pouquet@iplesp.umpc.fr) ou de vous inscrire directement en cliquant ici.
Prévention
Une nouvelle campagne de sensibilisation sur les risques liés à la polymédication chez la personne âgée
Ça s’en va et ça revient (ou pas)
Insulinothérapie : Lilly fait du ménage
Ça s’en va et ça revient (ou pas)
Lasilix Retard : arrêt de commercialisation
Ça s’en va et ça revient (ou pas)
Eurobiol 40 000 U sous tension : le dosage à 25 000 U reste disponible