Une étude menée par EPI-Phare montre une augmentation très faible du risque de méningiome avec le désogestrel. Cette augmentation est rapportée chez les femmes de plus de 45 ans, ou en cas d’utilisation prolongée de plus de 5 ans d’une contraception à base de désogestrel. Avant de prescrire ce médicament ou son dérivé Nexplanon (étonogestrel), les médecins doivent vérifier les antécédents de méningiome ou de traitement par progestatifs. Contrairement aux progestatifs chlormadinone, nomégestrol, cyprotérone, médrogestone et médroxyprogestérone, les modalités de délivrance du désogestrel ne sont pas modifiées. Il faut rappeler aux patientes de consulter leur médecin en cas de maux de tête persistants, de troubles visuels ou de l’équilibre, ou d’autres signes neurologiques évoquant un méningiome. Dans ce cas, une IRM doit être réalisée.
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Désogestrel et risque de méningiome : des points de vigilance
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Publié le 28/03/2025
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Source : Le Quotidien du Pharmacien
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