En pratique, plus un aliment a une bonne qualité nutritionnelle, moins il apporte de calories, plus il est cher et inversement. C’est le paradoxe de l’alimentation d’aujourd’hui. Conséquence : en France comme partout dans le monde, les populations les plus démunies achètent pour un faible coût des aliments de mauvaise qualité nutritionnelle et de forte densité énergétique. Ce modèle alimentaire qui privilégie la quantité et non la qualité ni la saveur, combiné à d’autres facteurs comme l’inactivité et la sédentarité favorise le développement de l’obésité, du diabète et d’autres maladies de civilisation. Les nutritionnistes et les professionnels de santé doivent encourager la consommation d’aliments de bonne qualité nutritionnelle à prix raisonnables comme le lait et les produits laitiers, les œufs, les légumes secs et les féculents.
Le prix à payer
Publié le 19/05/2016
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3266
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