Rendue obligatoire par l’arrêté de bonnes pratiques de dispensation, la sérialisation provoque la colère de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) qui refuse toute pénalité financière, et par conséquent toute sanction en cas de non-application.
L’argument retenu par le syndicat est le suivant : ce dispositif est onéreux et superflu pour lutter contre la falsification de médicaments. Et surtout, il ne revient pas aux pharmaciens d’en payer les frais, France MVO, l'organisme français dédié à la sérialisation, n’ayant mis aucune solution gratuite à leur disposition. La FSPF annonce par conséquent vouloir obtenir une valorisation de cet engagement supplémentaire de la profession dans la prochaine convention pharmaceutique.
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