MAI. À l’approche du déconfinement, l’officine est en ordre de marche et défend la prolongation – voire la pérennisation – de certaines mesures exceptionnelles mises en place ces dernières semaines. C’est d’ailleurs acté pour le dispositif d’assistance aux victimes de violences intrafamiliales. Après deux mois à gérer la pénurie de masques au comptoir et à essuyer la colère des usagers, la profession se sent trahie par la soudaine abondance de masques, par millions, annoncée par les grandes surfaces. Le retour à la normale tant espérée se fait par étapes et avec un renforcement des mesures barrière. Une étude conjointe de l’ANSM et de l’assurance-maladie pointe les modifications dans la consommation de médicaments pendant le confinement : relative stabilité des traitements chroniques, mais effondrement des délivrances d’AINS, de vaccins, de corticoïdes oraux et d’antibiotiques. Autre changement de comportement dû au confinement qui pourrait perdurer : les Français ont privilégié leur officine de proximité pour les produits de parapharmacie.
Mai
À l’heure du déconfinement
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Publié le 05/01/2021
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Source : Le Quotidien du Pharmacien
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