L’Académie de pharmacie estime qu'il est tout à fait possible de conférer aux pharmaciens d'officine le droit de substitution par biosimilaires lors de l’initiation du traitement et lorsqu’il est possible de substituer un médicament biologique par « un médicament biosimilaire dont le principe actif et le produit fini sont issus de la même chaîne de fabrication que le produit de référence ». Selon les sages, aucune publication scientifique ne faisant état de risque démontré d’immunogénicité, la substitution par biosimilaires est également possible en cours de traitement pour certaines classes de médicaments biologiques, telles les insulines, les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) et les G-CSF non glycosylés, bien qu’il n’existe pour l'instant pas de biosimilaires sur le marché pour ces derniers.
Biosimilaires
L'Académie pour la substitution
Par
Publié le 24/11/2020
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien
A la Une
Stéphanie Rist, une ministre de la Santé qui vous veut du bien
Congrès national des pharmaciens
Millefeuille administratif : les pharmaciens exaspérés remettent un livre blanc à la Sécu
Congrès national des pharmaciens
Objectif 95 % à 97 % de substitution sur les biosimilaires
Congrès national des pharmaciens
L’assurance-maladie réaffirme le principe « carte Vitale contre tiers payant »