LE GROSSISTE allemand Celesio, dont on sait qu’il aurait espéré pouvoir créer des chaînes de pharmacie si la décision avait été favorable, estime que l’arrêt de la Cour européenne de justice « a l’avantage de mettre enfin les choses au clair, et permet maintenant de savoir ou l’on va ». « Il s’agit d’un choix politique que nous ne pouvons ni ne voulons changer », déclare le P-DG de Celesio, Fritz Oesterlé, au site d’information pharmaceutique allemand « Apotheke adhoc ». Il promet qu’il ne fera aucun lobbysme, ni à Berlin ni à Bruxelles, pour relancer le dossier de l’ouverture du capital des pharmacies, mais rappelle que son groupe serait bien sûr présent si celui-ci venait un jour à s’ouvrir. Celesio, qui a racheté Doc Morris il y a quelques mois, subit le contre coup de l’arrêt concernant spécifiquement le développement de ce dernier, dans le cadre de l’affaire sarroise. L’action Celesio a fortement chuté. Fritz Oesterlé compte cependant poursuivre le développement de Doc Morris par une politique de franchises, avec des titulaires indépendants partenaires de l’enseigne, et maintient son objectif d’atteindre 500 franchisés Doc Morris d’ici à 2011.
Cour européenne de justice
« Un choix politique », selon Celesio
Publié le 18/07/2009
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D. D. B.
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2668
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