Le tribunal administratif a retiré la licence d’exploitation, comme il en a le droit, et ce n’est donc pas l’Ordre qui a fait fermer cette pharmacie. Ce retrait de licence, prononcé par la Justice, déclenche automatiquement notre intervention, car nous ne pouvons pas laisser exercer l’intéressé, c’est la loi. M. Guilhem, qui dirige ce collectif, semble l’ignorer. Dans cette affaire, nous ne sommes absolument pas partie prenante, et nous sommes tenus de nous conformer aux décisions du tribunal - qu’il soit administratif ou pénal - donc de radier le pharmacien mis en cause, sans préjuger de l’avenir. Il y aura un jugement en appel à Bordeaux en janvier. Nous nous conformerons là aussi à son jugement et appliquerons bien évidemment la loi s’y rattachant.
Je voudrais souligner que l’Ordre n’a aucun préjugé pour l’une ou l’autre partie de ce dossier, que nous ne favorisons ou sanctionnons personne en raison de quelque motif que ce soit, observant la plus grande impartialité dans cette affaire comme dans toutes les autres.
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