Encore sous le choc des 1 100 places restées vacantes dans les facs de pharmacie à la rentrée, la profession s’est mise en ordre de bataille pour trouver des solutions. Outre une meilleure visibilité sur le portail de Parcoursup, elle réclame que les études de pharmacie bénéficient de la réforme tant attendue pour redonner de l’attractivité à la filière. Une nécessité alors que les titulaires ne cachent pas leurs difficultés à recruter au moment où de nouvelles missions leur sont confiées. Et au moment où la gestion des ruptures de stock n’a jamais autant grignoté le temps pharmaceutique disponible. C’est dans ce cadre que les représentants des laboratoires princeps et génériques, des groupements et des pharmaciens d’officine ont boycotté la réunion du comité de suivi des génériques, de façon à protester contre les nouvelles baisses de prix voulues par le Comité économique des produits de santé (CEPS) qui risquent d’aggraver encore les tensions d’approvisionnement.
Février
Études à réformer d’urgence
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Publié le 04/01/2024
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Source : Le Quotidien du Pharmacien
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