Comme sur des roulettes. La première année de santé, expérimentée à Bordeaux, a connu peu de ratés. « Administration, responsables pédagogiques et étudiants, tout le monde a été arrangeant », souligne Matthieu Husson, étudiant en 5e année officine et nouveau président de l’ANEPF (Association nationale des étudiants en pharmacie). Il y a bien eu quelques soucis d’organisation, qui étaient prévisibles. Les enseignements dirigés ont été rognés, du fait d’effectifs trop importants. « Et des pannes sur le matériel de visioconférence ont conduit à l’annulation de cours, diffusés dans quatre amphithéâtres en simultané », témoigne l’étudiant bordelais. Une expérimentation similaire a été menée à la faculté de Grenoble. Mais dans d’autres villes, ça patauge toujours. À Paris, où il y a deux facultés de pharmacie pour une demi-douzaine de facultés de médecine, l’organisation s’avérait délicate, mais a été largement anticipée. Selon l’ANEPF, les facultés de Lyon, Marseille, Nantes, Brest et Nice posent encore problème à ce jour. À Saint-Étienne, par exemple, il est difficile d’organiser des enseignements communs sans la présence d’une faculté de pharmacie.
Bon point pour Bordeaux
Publié le 26/11/2009
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2706
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