Au Québec, un acte balisé et codifié

Publié le 02/12/2019
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Un accord entre l'Association québécoise des pharmaciens propriétaires (AQPP) et le ministère de la santé prévoit tous les cas dans lesquels le pharmacien peut effectuer une « opinion pharmaceutique ».

Ils sont répertoriés et codifiés dans la liste des motifs d’opinion pharmaceutique (cessation du traitement pour allergie, grossesse, allaitement ou interaction, sevrage aux benzodiazépines, intolérance…) et dans la liste relative à l’inobservance du traitement dans l’asthme, la tuberculose, les maladies cardiovasculaires et l’hypertension artérielle, le diabète de type II, l’épilepsie, l’infection au VIH et l’utilisation de psychotropes.

Quant au refus de dispensation, ils sont également prévus dans une troisième liste : ordonnance falsifiée, surconsommation, quantité prescrite irrationnelle, produit inefficace pour l’indication, dose élevée dangereuse, interaction significative, surconsommation…

M. B.

Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3562