Depuis 2019, le risque de méningiome associé aux traitements par nomégestrol, chlormadinone et cyprotérone a conduit à mettre en place des conditions de prescription et de délivrance plus strictes, et une surveillance spécifique des patientes. Qu’en est-il des autres progestatifs tels que le diénogest, la dydrogestérone, la médrogestone ou la progestérone ? C’est à cette question que souhaite répondre l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Pour cela, un nouveau comité d’experts est créé ; il a pour mission d’analyser les données disponibles et d’émettre des recommandations pour sécuriser l’utilisation de ces médicaments.
Si les patients vous en parlent
Un risque de méningiome avec mon traitement progestatif ?
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Publié le 26/01/2023
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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Méningiomes et progestatifs : les prescriptions s’effondrent, les cas de méningiome aussi