La caisse primaire du Tarn souhaite rendre la substitution automatique. Sur son site, celle-ci indique à ses affiliés que, « depuis le 15 juin, le bénéfice du tiers payant est réservé exclusivement à l’acceptation du médicament générique par l’assuré, y compris pour les prescriptions médicales comportant la mention non substituable ».
Un durcissement des règles qui déplaît au Collectif interassociatif sur la santé (CISS), indique le Quotidien du Médecin.fr. « Le dispositif du tiers payant contre générique a des limites légales », estime le CISS, et les patients « n’ont pas à faire les frais » de la lutte contre l’abus de la mention non substituable (NS). Pour le CISS, les dérogations législatives au principe du tiers payant contre génériques « doivent être respectées par les organismes chargés de mettre en œuvre le remboursement des usagers ». Et de prévenir que « la persistance de telles pratiques donnera lieu à des recours » devant les juridictions compétentes.
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