L’ANSM a publié une nouvelle version des bonnes pratiques de pharmacovigilance qui se substitue à celle de 2018. En pratique, les pharmaciens ont l’obligation de déclarer immédiatement tout effet indésirable susceptible d’être dû à un médicament ou produit, et dont ils ont connaissance, que cet effet soit grave ou non, préférentiellement via le portail de signalement des événements sanitaires indésirables. Le champ des événements concernés a été élargi. Les pharmaciens sont encouragés à déclarer toute erreur médicamenteuse (même sans effet indésirable), toute suspicion d’inefficacité thérapeutique, de résistance inattendue à des traitements, ainsi que toute suspicion de transmission d’agents infectieux liée à un médicament ou produit, ou encore toute exposition à un médicament au cours de la grossesse ou de l’allaitement (même sans survenue d’effet indésirable).
Pharmacovigilance
De nouveaux éléments à déclarer
Par
Publié le 07/07/2022
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien
Produits vendus en pharmacie
Antipoux : seulement 27 % des produits réellement efficaces
Arboviroses
Un cas autochtone de chikungunya détecté dans la région Grand Est
Rupture de stock
Une solution de remplacement pour Bi Tildiem LP 120 mg
Étude Epi-phare
Méningiomes et progestatifs : les prescriptions s’effondrent, les cas de méningiome aussi