Réduire l’impact environnemental de notre consommation implique aussi de considérer l’emballage des produits. Si les cosmétiques présentés sous forme solide favorisent l’économie du contenant, d’autres démarches vertueuses entendent diminuer l’empreinte du produit sur la nature. Le label Cosmébio, par exemple, incite à réduire le suremballage et à privilégier les matériaux recyclés, recyclables ou réemployables dans les contenants. Certains plastiques qui ne peuvent pas être recyclés ou polluants dans leur phase de dégradation, comme le polystyrène et le PVC, ne pourront pas être employés pour emballer un produit qui relève de cette charte. Par ailleurs, certains fabricants fixent leurs propres contraintes en termes d’écoconception. C’est le cas du groupe Léa Nature qui a décidé de limiter l’empreinte « pétrole fossile » de ses emballages en ayant recours au plastique recyclé mais aussi au polyéthylène végétal. Ce composant est obtenu à partir d’éthanol de cannes à sucre, une plante qui capte du CO² pendant sa croissance, ce qui permet d’abaisser les émissions de 30 à 50 % des emballages à base de PE végétal comparé à un contenant en plastique issu du pétrole.
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Publié le 25/05/2023
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Source : Le Quotidien du Pharmacien