Les points clés

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Publié le 18/02/2019
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- La contraception hormonale repose sur l’administration d’une association estroprogestative ou sur celle d’un progestatif isolé. Généralement administrée par voie orale, elle est aussi déclinée sous forme transdermique (patch), sous-cutanée (implant), locale (anneau vaginal, DIU) voire intramusculaire.

- Les contraceptifs oraux combinés (COC) se distinguent par les quantités relatives d’estrogène et de progestatif et par le profil pharmacologique de ce dernier : il est recommandé de privilégier en première intention un COC de 2e génération (progestatif = lévonorgestrel).

- Les dispositifs intra-utérins (DIU) agissent par l’action locale du cuivre ou d’un progestatif.

- Diaphragme et cape cervicale ont l’avantage d’être réutilisables, mais sont peu adaptés à la contraception de la jeune fille.

- Les spermicides constituent généralement seulement un moyen d’appoint.

- Les préservatifs masculins et féminins protègent des MST. Ils sont utilisés isolément ou en complément d’une autre méthode.

- La contraception d’urgence peut être proposée, selon le médicament, jusqu’à 3 jours ou 5 jours après un rapport non protégé.

 


Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3496